C’était un cœur tardif qui en lui battait
Son corps était tout seul
Ses mains tremblaient
Dans la poitrine naissaient des cierges blancs;
Aurait-il su que sa larme
De cire restera tout en argent
L’aurait-il touchée de sa seule faute
Personne, jamais, n’aurait oublié son nom –
Mais il l’aima et il resta le seul lui
Il n’avait pas les années du silence
Le silence des années il ne pouvait le vivre
Dans les rues du monde une chanson
Porte ses bras de fer
Luciole automnale des instants vides
Un dernier pardon c’est à la bouche de la mort
Quand tu sais que le départ seulement veut de toi –
Sans chaînes, sans monnaie, sans paroles
Seul
Est l’homme qui a aimé –
Lui il n’oublie jamais.
*
Traduit du roumain par Cindrel Lupe
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Lisez l’original en roumain :
Bible de solitude – Luminita Amarie
Classé dans Luminita Amarie
Comme je disais toute à l’heure dans un message de voeux envoyé à une adresse… ( sans doute défunte ):
ca la urarile mele de circumstanta nu voi adauga « succese în domeniile liricei » deoarece ele sunt constatate chiar de un umil cititor de poezie ca mine…
avec mes voeux de bonheur, sperând ca firul acesta de legatura nu e si el rupt .
Salutari
Florin